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„Ziel mir keng!“ wird sonntagabends nach dem „Wëssensmagazin Pisa“ auf RTL Tëlee ausgestrahlt. Du kannst Dir die Folgen aber auch auf RTL Play und auf dem YouTube-Kanal science.lu ansehen: https://www.youtube.com/user/scienceluxembourg« Ziel mir keng! » est diffusé sur RTL Tëlee après le « Wëssensmagazin Pisa ». Vous pouvez aussi visionner les épisodes sur RTL Play et sur la chaîne YouTube science.lu.

En 1984, près de 80 % des arbres dans nos forêts au Luxembourg étaient en bonne santé. En 2023, ce pourcentage n'était plus que de 15 % !

Choquant, n'est-ce pas ? 73 % des arbres présentent des signes de détérioration ou de stress. Et 12 % sont nettement endommagés ou ont déjà dépéri. 

Évolution de l'état de santé des forêts luxembourgeoises. Source : Inventaire phytosanitaire des forêts 2023 (ANF)

Les cinq dernières années sont particulièrement marquantes. À partir de 2019, l'état de santé des forêts a fortement diminué. 

Méthode d'évaluation de l'état de santé de nos forêts
 

Pour évaluer l'état de santé des forêts, un échantillon provenant du réseau européen de surfaces d'observation est prélevé chaque année au Luxembourg depuis 1984. Il s'agit d'un réseau systématique de 51 placettes d'observation (quadrillage de 4 x 4 km) situées dans des forêts publiques et privées.  Sur ces placettes, 1 176 arbres ont été analysés par des spécialistes pour l'inventaire phytosanitaire 2023 des forêts. Les éléments suivants sont observés :

  • état de la cime (notamment perte de feuilles ou d'aiguilles) ;
  • signes de dépérissement, présence de champignons, anomalies au niveau de lim'écorce et du bois ;
  • type de forêt, altitude, exposition, caractéristiques du site.

Chaque arbre examiné est classé dans l'une des cinq classes de dégâts (0 = arbres sans dommage ; 1 = arbres légèrement stressés ou endommagés ; 2 = arbres moyennement stressés ou endommagés ; 3 = arbres nettement stressés ou endommagés ; 4 = arbres morts). Les données sont intégrées dans des études comparatives internationales, notamment dans le cadre d'ICP Forests, un programme de l'UE de surveillance de l'état des forêts.

Source : ANF

Comment ça se fait ? Et comment remédier à cette situation ?

Pour beaucoup de gens, la forêt est un lieu de calme et de détente. Mais, elle contribue aussi à réguler notre climat, abrite une panoplie d'espèces animales et végétales, et constitue une ressource précieuse de matériaux de construction durables. Mais en sera-t-il toujours ainsi à l'avenir ? Dans notre nouvel épisode de « Ziel mir keng! », nous nous sommes penchés plus en détail sur la situation actuelle et l'avenir de nos forêts. 

Cet épisode a été réalisé avec l'aide de Martine Neuberg, responsable du Service Forêts de l'Administration de la nature et des forêts.

Foto: Martine Neuberg (ANF)

Martine Neuberg est diplômée en sylviculture. Elle a fait ses études en sciences forestières à Fribourg-en-Brisgau de 1989 à 1995. Depuis 1996, elle travaille à l'Administration de la nature et des forêts au Luxembourg, où elle est depuis 2019 Cheffe du Service des forêts. Ce service est chargé d'l'inventaires forestiers, de la planification et de la surveillance dans le domaine forestier.

 

Si vous souhaitez en savoir plus sur ce sujet, notre article sur science.lu pourrait vous intéresser :

Combien y a-t-il de surfaces boisées au Luxembourg ?

Il y a plusieurs milliers d'années, à une époque où il n'y avait pas encore beaucoup d'êtres humains, nos régions étaient presque entièrement  couvertes de forêts. À l'heure actuelle, les forêts ne couvrent plus que près de 36 % de la superficie du Luxembourg.

C'est légèrement plus que dans nos pays voisins, la France et l'Allemagne, nettement plus qu'en Belgique, mais bien moins que la moyenne européenne de 41 %.

Surfaces boisées au Luxembourg et dans nos pays voisins, exprimée en pourcentage. Sources : UNFCCC (2023) ; BLEH (2022) ; FBW (2024) ; MASA (2025) ; EC (2022)

Le Luxembourg compte 92 150 ha de forêts. Selon le dernier inventaire, les feuillus constituent quelque 68% des forêts et les résineux 32%. 

Les forêts mixtes sont rares, les mélanges de pins et de hêtres faisant figure d'exceptions.

54 % des superficies forestières au Luxembourg appartiennent à des particuliers, alors que l'autre moitié appartient à l'État.

 

Au fil des années, une grande partie des forêts a été détruite par l'activité humaine, surtout parce qu'il a fallu faire de la place pour les villes, les villages et l'agriculture.

Et une part considérable des forêts qui subsistent est en état de stress, de dégradation ou de dépérissement. 

Actuellement, les hêtres sont les plus touchés. En effet, pour la première fois, aucun arbre examiné en 2023 n'a pu être classé dans la catégorie « sans dommage ». La situation est similaire pour les chênes et les autres feuillus, même si 10 % d'entre eux ne présentent pas de dommage pour l'instant. L'état des résineux semble se stabiliser.

Dans quelle mesure est-ce préoccupant ? Commençons par examiner en quoi les forêts sont importantes.

Pourquoi les forêts sont-elles importantes ?

Les forêts remplissent essentiellement trois fonctions.

  • Il s'agit  d'une surface d'exploitation, le bois étant utilisé par exemple pour construire ou pour chauffer. À cet égard, les forêts jouent un rôle économique.
  • Mais c'est aussi un lieu de détente. Il a été scientifiquement démontré que la forêt a un effet positif sur notre bien-être.
  • Enfin, et c'est le plus important, les forêts remplissent aussi une fonction de protection importante !

Elles jouent par exemple un rôle clé dans la lutte contre le changement climatique. Lors de la photosynthèse, les arbres absorbent le CO2 de l'atmosphère et le transforment, avec l'aide de l'eau, en sucre et en oxygène.

Le CO2 de l'air est donc stocké dans le bois sous la forme de carbone. Moins il y a d'arbres en bonne santé, moins le volume de CO2 capté est important. 

Un hectare de forêt au Luxembourg peut stocker près de 10 tonnes de CO2 par an. À titre de comparaison : actuellement, les émissions de CO2 au Luxembourg s'élèvent en moyenne à environ 13 tonnes par personne et par an !

Les forêts contribuent en outre à rafraîchir le climat localement. Comme les forêts renferment beaucoup d'humidité, une évaporation constante s'y produit, ce qui rafraîchit le milieu environnant. Vous avez sûrement déjà constaté à quel point il fait bon dans une forêt en été !

Mais les forêts contribuent aussi, par exemple, à filtrer l'eau potable et l'air.

Selon le type de forêt, un hectare peut produire entre 80 000 et 160 000 mètres cubes d'eau souterraine par an. Et chaque hectare de forêt filtre jusqu'à 50 tonnes de suie et de poussières présentes dans l'air tous les ans.

De plus, l'écosystème forestier abrite une panoplie d'êtres vivants, qui sont spécifiquement adaptés à cet environnement et qui ne peuvent vivre que dans cet endroit. Les forêts jouent donc aussi un rôle important pour la biodiversité.

Si nos forêts continuent à se dégrader, des problèmes apparaîtront à plusieurs niveaux : nous perdons des matériaux de construction, un patrimoine économique, un lieu de détente et un écosystème essentiel dans la lutte contre le changement climatique et la perte de biodiversité.

Mais quelles sont au juste les raisons pour lesquelles les forêts se dégradent ?

Pourquoi les forêts se portent-elles mal ?

La pluie acide n'est aujourd'hui pratiquement plus un problème. Dans les années 1980, la situation était tout autre. Mais grâce à toute une série de mesures, telles que l'installation de catalyseurs dans les voitures, nous avons réussi à maîtriser ce problème. Il s'agit là d'un bon exemple où les mises en garde des scientifiques ont été prises en considération par les responsables politiques et ont entraîné une amélioration !

À l'heure actuelle, la principale cause de la dégradation des forêts est le changement climatique.

En raison du changement climatique, les épisodes de sécheresse se multiplient et affaiblissent, voire détruisent les arbres.

Ces dernières années, la pénurie d'eau a provoqué une hausse de la mortalité des arbres, notamment des hêtres qui poussent sur des sols lourds et argileux.

Situation comparative pour les différentes essences d'arbres au Luxembourg. Source: ANF (2023)

C'est vrai, il y a toujours eu des épisodes de sécheresse. Mais, d'un point de vue statistique, le changement climatique entraîne une augmentation de la fréquence des phénomènes météorologiques extrêmes, au Luxembourg comme ailleurs. Vous trouverez plus d'informations à ce sujet dans notre épisode « Ziel mir keng! » sur le changement climatique au Luxembourg.

Par ailleurs, à cause des hivers plus doux, des parasites comme le bostryche survivent mieux. Ces dernières années, il a causé d'importants dégâts, surtout chez les épicéas.

Ces ennemis ont bien entendu toujours existé. Soit les arbres parviennent à s'en protéger eux-mêmes, par exemple en produisant de la résine pour s'en débarrasser, soit on limite les dégâts grâce à une gestion et à un entretien appropriés des forêts.

Mais ces derniers temps, plusieurs effets se sont conjugués :  quand le climat est trop sec, l'arbre ne produit plus suffisamment de résine et ne parvient plus à se protéger correctement. Ce qui complique la situation dans le cas du bostryche, c'est la forte proportion d'épicéas dans nos forêts.  Au Luxembourg, il s'agit d'une des espèces d'arbres dominantes.

Répartition des espèces d'arbres au Luxembourg. Source : IFL2 (ANF, 2009-2011)

Beaucoup d'épicéas ont été plantés après la Deuxième Guerre mondiale, souvent sous la forme de monocultures, parce qu'ils repoussent vite et sont très utiles dans l'industrie du bois.

Mais l'état du sol joue aussi un rôle important. Des indices montrent qu'il y a une concentration excessive de nitrates dans le sol, due notamment aux émissions de CO2 des voitures et du secteur industriel ainsi qu'à l'usage d'engrais agricoles et à une fertilisation excessive.

Les arbres poussent alors trop vite dans un premier temps, ce qui entraîne un déséquilibre nutritif et les rend plus vulnérables à long terme, par exemple aux parasites.

Les processus naturels, comme ceux liés au vieillissement, jouent aussi un rôle dans ce contexte. Une chose est certaine : nos forêts sont relativement vieilles.

Alors, comment rendre leur vitalité aux forêts et les préparer pour l'avenir?

Quelles solutions existe-t-il ?

Des scientifiques, des gardes forestiers, des propriétaires de forêts, des défenseurs de la nature, des chasseurs, des administrations et d'autres acteurs travaillent main dans la main pour façonner les forêts de demain. Ils s'appuient en partie sur des données scientifiques.

Une question essentielle se pose : de quelles forêts souhaitons-nous disposer ? Quelle part doit servir à l'exploitation et quelle part doit rester à l'état sauvage ?

Les forêts de demain doivent dans tous les cas contribuer à la protection du climat et être plus résilientes – et donc adaptées aux conditions climatiques de demain.

Or, un grand défi réside dans le fait qu'on ignore comment notre climat va évoluer.  Quelles espèces d'arbres s'adapteront le mieux, sachant que les arbres peuvent vivre jusqu'à 200 ans ? Il est presque impossible de formuler des prévisions climatiques fiables pour un futur aussi lointain.

C'est pourquoi on s'accorde à dire qu'il ne faut pas miser sur une ou quelques espèces d'arbres, mais sur une certaine diversité. Si nous plantons différentes espèces d'arbres, il y en aura, on l'espère, toujours quelques-unes qui survivront.

En outre, il faut réduire les facteurs de stress pour les forêts. Concrètement, il s'agit de protéger les sols, de réguler les populations de gibier – car le gibier broute souvent les jeunes arbres – et, d'autre part, d'intervenir le moins possible dans les forêts – autant que nécessaire, mais aussi peu que possible. 

Pour y parvenir, des compromis sont nécessaires et il faut rester dynamique. Par exemple, pour rendre les forêts plus résilientes, certaines interventions sont nécessaires. Pour ces interventions, on peut aussi tirer parti des opportunités qui naissent de dommages.  Les arbres endommagés peuvent être retirés et remplacés par des espèces plus diversifiées et mieux adaptées au site.

Cet épisode a été présenté par Michèle Weber (à gauche) et Jean-Paul Bertemes (à droite) du Luxembourg National Research Fund (FNR) 

Conclusion

Nos forêts se portent mal. Ce n'est pas une bonne nouvelle... Et une chose est certaine : les forêts de demain seront différentes de celles que nous connaissons aujourd'hui !

Il est encore temps d'agir pour que les forêts aillent mieux un jour. C'est pourquoi nous devons prendre conscience de la valeur de cet habitat – comme lieu de détente, espace d'exploitation et espace de protection – pour notre climat, la biodiversité, l'air propre, l'eau potable et bien plus encore.

Pour plus d'informations sur le sujet, consultez notre article plus détaillé sur science.lu :

Auteurs : Michèle Weber, Jean-Paul Bertemes (FNR)
Présentation : Michèle Weber, Jean-Paul Bertemes (FNR)
Vérification des faits et conseils : Martine Neuberg (ANF)
Vidéo et illustrations : SKIN
Traduction : Nadia Taouil (www.t9n.lu)

Infobox

Sources

Inventaire phytosanitaire des forêts 2023 (ANF).

https://gouvernement.lu/dam-assets/documents/actualites/2023/09-septembre/27-welfring-inventaire-phytosanitaire/ppt-zoustand-vum-besch.pdf

https://www.privatbesch.lu/files/93758.pdf

https://unfccc.int/documents/627747; Abschnitt 6.1.3.4 Surface statistics according to LULUCF categories auf Seite 533

https://www.bmleh.de/SharedDocs/Downloads/DE/Broschueren/vierte-bundeswaldinventur.html

FBW – PanoraBois 2024 via https://srfb.be/informations-sur-les-forets/les-forets-de-belgique/

https://ec.europa.eu/eurostat/statistics-explained/index.php?title=Land_cover_statistics

https://environnement.public.lu/fr/natur/forets/L_Inventaire_Forestier_National.html

https://ihrs.ibe.med.uni-muenchen.de/team/wiss_mitarbeiter/immich/friedmann2018_heilwirkung_wald.pdf

Park, B.J. et al (2010), The physiological effects of Shinrin-yoku (taking in the forest atmosphere or forest bathing): Evidence from field experiments in 24 forests across Japan. Environ. Health Prev. Med. 2010, 15, 18-26. 

Song C. et al. (2013), Physiological and psychological effects of walking on young males in urban parks in winter. J Physiol Anthropol. 2013;32:18. 

Ulrich R.S. et al. (1991), Stress recovery during exposure to natural and urban environments. J Environ Psychol. 1991;11:201-230. 

Kim, W. et al. (2009): The effect of cognitive behavior therapy-based psychotherapy applied in a forest environment on physiological changes and remission of major depressive disorder. Psychiatry investigation 6 (4), S. 245-254. 

Li, Q. et al (2009), Effect of phytoncide from trees on human natural killer cell function. International journal of immunopathology and pharmacology 22 (4), S. 951-959. 

Kühn, S. et al, (2017),  In search of features that constitute an "enriched environment" in humans: Associations between geographical properties and brain structure. Scientific Reports, 7: 11920. doi: 10.1038/s41598-017-12046 

https://gouvernement.lu/dam-assets/documents/actualites/2021/11-novembre/24-dieschbourg-besch/Pressemappe-Pflanzaktionen-der-ANF-im-Rahmen-des-nationalen-Tag-des-Baumes-2021.pdf

https://www.zeit.de/wissen/2025-04/deutscher-wald-klimawandel-nicole-wellbrock-krisenpodcast

Inventaire phytosanitaire des forêts 2023 (ANF).

https://gouvernement.lu/dam-assets/documents/actualites/2023/09-septembre/27-welfring-inventaire-phytosanitaire/ppt-zoustand-vum-besch.pdf

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https://www.zeit.de/wissen/2025-04/deutscher-wald-klimawandel-nicole-wellbrock-krisenpodcast

https://environnement.public.lu/content/dam/environnement/documents/for%C3%AAt/rapport-gt-resilience-forets-luxembourg-20220530.pdf

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